Démaquillage: mon premier geste anti-âge

Évidemment, si on a de bons gênes et une hygiène de vie pas trop déplorable, ça aide aussi. Mais, il faut tout de même faire le minimum syndical, pas de miracle ! J’en ai connu qui se démaquillaient avec du gel douche. Oui, oui, véridique !

Depuis plusieurs années, j’ai adopté une routine de démaquillage perso qui tente modestement de se rapprocher d’une routine japonaise, mais en beaucoup plus simple (pas question d’y passer des heures, mon lit m’attend) :

1. démaquillage des yeux avec un démaquillant bi-phasé, toujours, quel que soit le fard, waterproof ou pas. Avec finition au coton-tige entre les cils, s’il vous plaît ! On y va en douceur. C’est long, mais au moins, j’évite les “coquards” au réveil.

2. coton d’eau micellaire sur tout le visage pour dissoudre un maximum de poudres, d’huiles et de résidus.

3. massage avec un gel nettoyant quick break, qui se liquéfie et devient huile au contact de la peau. J’adore ! À éliminer avec une petite serviette chaude comme en institut.

En option : si la peau tire, en particulier en hiver, j’applique un sérum hydratant ou même quelques gouttes d’huile et hop, au lit !

Et le matin ? Jamais de nettoyage ! Trop de propreté nuit… sans jeu de mots. Je m’explique : la peau est démaquillée le soir, un peu décapée au passage, forcément. En mode nocturne, la malheureuse se répare comme elle peut. Et le matin, il faudrait la nettoyer à nouveau pour virer le peu de sébum qu’elle a produit ? Non ! La peau n’est pas sale, elle n’a pas besoin d’un nouveau décapage. Je suis adepte du pschitt d’eau isotonique. Proche du liquide dans lequel baignent les cellules, ce type d’eau (Uriage, Esthederm) ne dessèche pas l’épiderme en s’évaporant. Essayez, vous verrez, ça marche !