Pourquoi je me préfère sans frisettes

IMG_2506Après avoir fait un break cheveux frisés d’une année et demi. J’ai recraqué il y a quelques mois pour le lissage japonais de Rino de Nicolo. Conversation avec mon psy (imaginaire)…

Moi : bon, c’est grave docteur ?

Le pseudo toubib : mais, non ma chère ! Vous allez très bien. C’est juste que vous avez trop longtemps galéré à trouver des produits adaptés à votre type de cheveux. C’est juste que vous trouvez plus pratique (surtout le matin…) d’avoir des cheveux raides, sans rien à faire de particulier. Vous n’avez plus envie de vous prendre la tête à essayer de rendre votre tignasse présentable deux jours après votre shampooing, parce que vous l’avez trop fait !

Moi : bon, alors c’est pas comme si je reniais mes “origines” (comme je l’ai déjà lu dans certains “papiers” qui n’étaient pas franchement dignes de s’appeler ainsi, hum…), vous êtes d’accord ?

Le toubib (pour de faux) : Oh, ça c’est drôle ! Et votre copine blonde qui se les lisse tous les matins à grands coups de brosse et de sèche-cheveux, elle aussi elle renierait ses origines ?

Moi : bah, vous voyez doc’, avec le climat qui règne actuellement, on n’est certainement pas près de revoir ces pseudo-papiers psycho. Et ça, c’est plutôt une bonne chose !

Finalement, se lisser les cheveux, ce n’est franchement pas si grave (le principal étant de trouver sa solution idéale, pas celle qui plaira aux autres), vu qu’il y a des sujets cent fois plus sérieux et dramatiques à aborder dans la presse féminine notamment. Vous ne trouvez pas ?

Et comme je ne suis pas à une contradiction près, je vous conseille de lire un super livre (dont Yasmine, journaliste et frisée elle aussi !) m’a parlé. Son nom : Curl Power (chez Marabout). L’auteur, Lorraine Massey, est une coiffeuse américaine, blonde et frisée comme un mouton. Elle y raconte ses mésaventures (j’évoquerai les miennes dans un post à venir) , on y trouve également les témoignages de femmes frisées de toutes les couleurs, une foule de conseils (y compris pour les ados, car c’est à cette période qu’on commence à avoir sa tignasse en horreur…#Ma fille !) pour bien s’occuper de sa frisure et ne plus se prendre la tête.

2 réflexions sur “Pourquoi je me préfère sans frisettes

    1. Exactement. C’est purement pratique, aucune psychologie à deux balles derrière tout ça. Sinon, on serait un peu nombreuses à être très malades, pas vrai ? 😉

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